On y découvre Beyrouth avant la guerre, un Liban très ouvert, où la liberté de penser et de vivre n'est pas un vain slogan occidental mais une réalité. Sous les bombes, la vie devient provisoire, alors les jeunes se droguent, s'amusent avec la mort et les extrémistes gagnent du terrain. C'est morbide, plein d'images dégradantes pour la femme, oui, mais gai en même temps, frais et joyeux et c'est aussi une belle déclaration d'amour à la figure paternelle.
Un beau texte, si vous voulez mon avis...
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