Lonesome cow-boy

Je ne sais pas vous, mais parfois le soir après le boulot, les taches ménagères et Zorro et Bernardo, la pause musique s'impose. Hier au soir, j'étais tellement vanné que je me suis endormi en écoutant Gee whiz but this is a Lonesome Town de Moriarty, et, comme on dit aux states, I had a dream.
Je m'appelle Jimmy. A 17 ans, j'ai quitté l'ennui du ranch familial pour vivre l'aventure avec la bande de outlaw de Gus. Désormais, je suis fier de mon nom. Hier, après le grand vol de la banque de Taos, j'aurai due rester planqué dans le désert à somnoler auprès du feu en écoutant le chant du buffalo me susurrer "Jimmy, won't you please come home". Mais rien au monde n'aurait pu m'empêcher de galoper vers le saloon pour écouter à nouveau Rosemary et son band et embrasser ma smart and preety lilly.
Aujourd'hui, debout sur le gibet, alors que le chanvre s'enroule autour de mon cou, j'ai peur et les miens me manquent enfin. Pauvre Jimmy, you can't ignore the buffalo song.

Ecoutez Jimmy