Pour le 24 décembre, le Père Noël nous a gatés! 2 angines à streptocoques, une pour Alma et une pour Sorenn, avec suspision de scarlatines donc antibios! et pour moi, qui ne réagit pas positivement au test, un mal de gorge abominable dû à une virus probablement mais comme la fièvre ne baisse pas (paaaaaaaaaas du tout) le doc m'a dit de faire aussi la cure d'antibio!
Là je me traine au travail, avec une voix horrible et Othman-le-gentil qui me dit "tu as l'air malade, Elodie", je n'ai pas que l'air, non...
Bon sinon c'était bien, les cadeaux, tout ça tout ça, des photos très bientôt, promis!
mardi 27 décembre 2011
lundi 12 décembre 2011
mercredi 7 décembre 2011
Igor le sportif
lundi 5 décembre 2011
Première rencontre
vendredi 25 novembre 2011
« L’argent, l’urgence » de Louise Desbrusses
Les mots sont simples. Presque simplistes. Répétitifs, parfois. La syntaxe est épurée, à l’extrême. Le rythme est syncopé. Et pourtant. Les émotions décrites sont de la précision indiscutable de ce qui a été vécu. C’est donc un tour de force –ou de magie- que réussit Louise Desbrusses : écrire avec peu de mots sur l’inénarrable.
Un survol sur Internet laisserait à penser que ce roman n’est qu’à propos du « monde du travail ». De mon point de vue, « L’argent, l’urgence » c’est également à propos de la vie de couple et de choix cruciaux qu’on peut être amener à faire pour être en accord avec soi-même plutôt qu’avec les autres. Ça parle de donner du sens à sa vie tout en trouvant les moyens de « faire bouillir la marmite ». Ou bien l’inverse.
Seul (petit) bémol* que j’émettrais: c’est qu’il faudra la rencontre accidentelle d’un homme – « le sauveur » ou « le prince charmant » - pour déclencher : la prise de conscience suivi de la prise de décision(s). La (re)prise en main de sa destinée. Ce qui laisserait à penser que cela est impossible sans la condition de cette rencontre. C’est regrettable à lire dans un roman qui est une remise en cause sévère de ce qu’il est convenu de faire, de penser, de vivre…ou non. Une critique du bien pensant et de la pensée unique.
A lire, absolument. (2006 Edition P.O.L 16 €).
*So*
*Tout comme dans «Les heures souterraines» de Delphine DE VIGAN
A consulter :
http://www.pol-editeur.com/index.php?spec=livre&ISBN=2-84682-124-0
Le site de l’éditeur offre à la lecture les 10 premières pages du roman.
http://www.peripheries.net/article4.html
Le site s’attache à la question du « monde du travail ».
Un survol sur Internet laisserait à penser que ce roman n’est qu’à propos du « monde du travail ». De mon point de vue, « L’argent, l’urgence » c’est également à propos de la vie de couple et de choix cruciaux qu’on peut être amener à faire pour être en accord avec soi-même plutôt qu’avec les autres. Ça parle de donner du sens à sa vie tout en trouvant les moyens de « faire bouillir la marmite ». Ou bien l’inverse.
Seul (petit) bémol* que j’émettrais: c’est qu’il faudra la rencontre accidentelle d’un homme – « le sauveur » ou « le prince charmant » - pour déclencher : la prise de conscience suivi de la prise de décision(s). La (re)prise en main de sa destinée. Ce qui laisserait à penser que cela est impossible sans la condition de cette rencontre. C’est regrettable à lire dans un roman qui est une remise en cause sévère de ce qu’il est convenu de faire, de penser, de vivre…ou non. Une critique du bien pensant et de la pensée unique.
A lire, absolument. (2006 Edition P.O.L 16 €).
*So*
*Tout comme dans «Les heures souterraines» de Delphine DE VIGAN
A consulter :
http://www.pol-editeur.com/index.php?spec=livre&ISBN=2-84682-124-0
Le site de l’éditeur offre à la lecture les 10 premières pages du roman.
http://www.peripheries.net/article4.html
Le site s’attache à la question du « monde du travail ».
lundi 21 novembre 2011
mercredi 16 novembre 2011
mercredi 9 novembre 2011
Because the night
Super concert de Patti Smith hier soir à la MC2, d'autant plus que l'icone (non, ce n'est pas exagéré) s'est essayé au français, s'est gentiment moquée d'elle-même en disant que tout ce qu'elle savait dire c'est "où est le parapluie et" où est la bibliothèque, on y va tout de suite!"
Autant vous dire que ça réconcilie avec tous les clichés précédents!
People have the power!
samedi 5 novembre 2011
Dans la série : " les clichés ont la vie dure..."
Télérama n° 3225 du 2 novembre 2011, interview d'Omar Sy (celui d'"Omar et Fred"), qui a grandi à Trappes, en banlieue parisienne...
"...Il adore la chanson depuis qu'il est tout petit. La "faute" à la télé : "C'est la seule culture qu'on a en banlieue, parce que la bibliothèque tu laisses tomber très vite, avec la nana aux grosses lunettes qui te regarde de travers dès que tu passes la porte."..."
Bon, y'a encore du travail!!!
"...Il adore la chanson depuis qu'il est tout petit. La "faute" à la télé : "C'est la seule culture qu'on a en banlieue, parce que la bibliothèque tu laisses tomber très vite, avec la nana aux grosses lunettes qui te regarde de travers dès que tu passes la porte."..."
Bon, y'a encore du travail!!!
mardi 1 novembre 2011
Harcèlement
lundi 31 octobre 2011
dimanche 16 octobre 2011
vendredi 14 octobre 2011
Extrait d'un classique
Pour les besoins d'une formation sur l'analyse littéraire, j'ai lu un livre jamais ouvert qui pourtant trône sur l'étagère de ma maman depuis longtemps... "La place" d'Annie Ernaux, est un livre poignant qui exprime en très peu de pages et de mots tous les malaises qui peuvent exister entre deux générations, quand des ouvriers/petits commerçants donnent naissance à une agrégée de Lettres Modernes...
Et dans les dernières pages, une perle pour les bibliothécaires...
p.111
"Un dimanche après la messe, j'avais douze ans [fin des années 1950], avec mon père j'ai monté le grand escalier de la mairie. On a cherché la porte de la bibliothèque municipale. jamais nous n'y étions allés. Je m'en faisais une fête. On n'entendait aucun bruit derrière la porte. Mon père l'a poussée, toutefois. C'était silencieux, plus encore qu'à l'église, le parquet craquait et surtout cette odeur étrange, vieille. Deux hommes nous regardaient venir depuis un comptoir très haut barrant l'accès aux rayons. Mon père m'a laissé demander: "On voudrait emprunter des livres. L'un des hommes aussitôt : "Qu'est-ce que vous voulez comme livres?" A la maison, on n'avait pas pensé qu'il fallait savoir d'avance ce qu'on voulait, être capable de citer des titres aussi facilement que des marques de biscuits. On a choisi à notre place, Colomba pour moi, un roman léger de Maupassant pour mon père. Nous ne sommes pas retournés à la bibliothèque. C'est ma mère qui a dû rendre les livres, peut-être, avec du retard."
Et dans les dernières pages, une perle pour les bibliothécaires...
p.111
"Un dimanche après la messe, j'avais douze ans [fin des années 1950], avec mon père j'ai monté le grand escalier de la mairie. On a cherché la porte de la bibliothèque municipale. jamais nous n'y étions allés. Je m'en faisais une fête. On n'entendait aucun bruit derrière la porte. Mon père l'a poussée, toutefois. C'était silencieux, plus encore qu'à l'église, le parquet craquait et surtout cette odeur étrange, vieille. Deux hommes nous regardaient venir depuis un comptoir très haut barrant l'accès aux rayons. Mon père m'a laissé demander: "On voudrait emprunter des livres. L'un des hommes aussitôt : "Qu'est-ce que vous voulez comme livres?" A la maison, on n'avait pas pensé qu'il fallait savoir d'avance ce qu'on voulait, être capable de citer des titres aussi facilement que des marques de biscuits. On a choisi à notre place, Colomba pour moi, un roman léger de Maupassant pour mon père. Nous ne sommes pas retournés à la bibliothèque. C'est ma mère qui a dû rendre les livres, peut-être, avec du retard."
mardi 11 octobre 2011
vendredi 23 septembre 2011
Cliché, encore un!
Page 119 du livre de Justin Peacok, Verdict, publié chez Sonatine (encore!!), un polar judicaire américain, lu par Nico.
Dialogue entre 2 personnages masculins :
"- Mélanie est dingue de toi.
- Elle est venue avec Ted?
Paul secoua la tête.
- Ted lui tourne autour, ce soir, mais je ne crois pas qu'il vienne trop t'encombrer. Une bibliothécaire le trouverait rasoir. En revanche, toi, elle pense que tu as une âme."
J'adore!
Dialogue entre 2 personnages masculins :
"- Mélanie est dingue de toi.
- Elle est venue avec Ted?
Paul secoua la tête.
- Ted lui tourne autour, ce soir, mais je ne crois pas qu'il vienne trop t'encombrer. Une bibliothécaire le trouverait rasoir. En revanche, toi, elle pense que tu as une âme."
J'adore!
samedi 3 septembre 2011
Vacances suite
Encore quelques photos des vacances, 48h avant la rentrée, ça peut pas faire de mal!!!
Balade en barque sur le courant d'Huchet avec Fabienne, François, Marius et Rose en vacances dans le coin en même temps que nous...
Alma la morfale ronge les os de poulet.
Avec Soso on lit et on s'instruit en rigolant!
Sorenn de bonne humeur au p'ti déj 'généralement, ça ne dure pas!)
Balade en barque sur le courant d'Huchet avec Fabienne, François, Marius et Rose en vacances dans le coin en même temps que nous...
Alma la morfale ronge les os de poulet.
Avec Soso on lit et on s'instruit en rigolant!
Sorenn de bonne humeur au p'ti déj 'généralement, ça ne dure pas!)
mercredi 31 août 2011
Landes
(plus bcp de messages sur ce blog, désolée, plus beaucoup de temps, et appareil photo en rade... heureusement Soso est venue en vacances avec nous, elle a pu faire de très belles photos, merci Soso, pour ça et pour tout le reste : la préparation des repas quand il faut doucher les enfants au retour de la plage, la garde d'Alma une après-midi quand les plus grands veulent profiter des vagues, les histoires aux enfants, le portage des serviettes sur le vélo et tout et tout...)
Donc vacances 2011 dans les Landes, juste à côté de Vieux-Boucau, dans un très beau village vacances dont nous aurons profité pour la piscine, le snack et les cours de natation gratos pour Igor. Pour le reste location de vélos donc balades tous les jours et plage aussi tous les jours, les vagues de l'Atlantique, c'est trop bien!!!
Voici les premières photos, d'autres suivront dans les prochains jours....


Donc vacances 2011 dans les Landes, juste à côté de Vieux-Boucau, dans un très beau village vacances dont nous aurons profité pour la piscine, le snack et les cours de natation gratos pour Igor. Pour le reste location de vélos donc balades tous les jours et plage aussi tous les jours, les vagues de l'Atlantique, c'est trop bien!!!
Voici les premières photos, d'autres suivront dans les prochains jours....

vendredi 22 juillet 2011
lundi 27 juin 2011
Chevilles enflées
Je ne résiste pas à l'envie de faire ma fière en vous livrant les mots de la maitresse d'Igor, pour cette fin de CP :
"Bon élève, curieux, motivé et toujours très présent en classe, ça n'a été que du bonheur cette année que de t'avoir au CP! Bonne route vers le CE1!"
J'suis trop contente.
Ben quoi, j'ai le droit!!!!!
"Bon élève, curieux, motivé et toujours très présent en classe, ça n'a été que du bonheur cette année que de t'avoir au CP! Bonne route vers le CE1!"
J'suis trop contente.
Ben quoi, j'ai le droit!!!!!
mardi 14 juin 2011
Week-end mouvementé
lundi 30 mai 2011
Temps suspendu et téléphone
mardi 24 mai 2011
Association
Alma, depuis quelques semaines, enrichit son vocabulaire... Maman, Papa, chat, caché, à table, Papou bien sûr, dodo, pot, caca, dada
Ce matin, à 6h09 précises, elle a fait sa première phrase : "non dodo maman"
Pourquoi ai-je des enfants insomniaques????
Ce matin, à 6h09 précises, elle a fait sa première phrase : "non dodo maman"
Pourquoi ai-je des enfants insomniaques????
mercredi 18 mai 2011
d'un Z qui veut dire Zorro
vendredi 13 mai 2011
Igor en vadrouille
mercredi 11 mai 2011
Tous à Jacou
Inscription à :
Articles (Atom)