mercredi 1 février 2012
Retour en vacances
Igor a hérité de l'ancien appareil photo de Pépé et Mamette, pendant les vacances de Noël, il a fait pas mal de photos et j'ai enfin pensé à récupérer le cordon pour les télécharger... Voici donc le témoignage de la venue de Soso à Saint-Martin-d'Hères, avec le traditionnel atelier d'art! Reportage signé Igor donc!

jeudi 26 janvier 2012
Miss Alma en vadrouille
Pendant que nous faisions la connaissance d'Arthur, Alma était avec Mino chez Mamie Hélène en Savoie, l'occasion de s'asseoir avec doudou sur la célèbre marche qui a déjà vu 2 douzaines (au moins!) de petites fesses,
de s'allonger dans la neige
et même de faire un bonhomme...
L'occasion aussi d'aller voir un kiné-énergéticien-magnétiseur connu ans ma famille pour essayer de régler les problèmes e sommeil de mademoiselle et bien figurez-vous que depuis..... c'est beaucoup mieux!!! Pourvu que ça dure!



L'occasion aussi d'aller voir un kiné-énergéticien-magnétiseur connu ans ma famille pour essayer de régler les problèmes e sommeil de mademoiselle et bien figurez-vous que depuis..... c'est beaucoup mieux!!! Pourvu que ça dure!
lundi 23 janvier 2012
Cousin
Hier dimanche nous sommes allés à Dizimieu, voir le tout nouveau petit frère de Lucile. Je vous présente donc cousin Arthur, né le 9 janvier, toutes nos félicitations aux parents, Stéphanie et Stéphane... 

Vous avez remarqué, il manque Alma sur les photos, c'est normal, on l'a prêtée à Mino pour le week-end, 2 nuits complètes de suite pour nous, le pied!
(petite précision : 2 nuits complètes pour elle aussi, qui ne s'est pas réveillée.... j'enrage....)
(petite précision : 2 nuits complètes pour elle aussi, qui ne s'est pas réveillée.... j'enrage....)
samedi 21 janvier 2012
Bibliothèque japonaise
Une contribution de Lisa (heureusement que ça amuse mes copines bibliothécaires, ce truc...) au célèbre jeu : "repérons les allusions bonnes ou mauvaises aux bibliothèques et /ou aux bibliothécaires dans la littérature"! Merci Lisa!
Un extrait de Kafka sur le rivage de Haruki Murakami (édition 10/18 pp.44-45)
"Depuis tout petit, je passe ma vie dans les salles de lecture des bibliothèques. Il n'y a pas beaucoup d'endroits où puisse aller un petit garçon qui n'a pas envie de renter chez lui. Il ne peut pas entrer dans un café, ni aller au cinéma. Il ne reste que les bibliothèques. Elles sont gratuites et personne ne dira rien à un enfant qui y entre seul. On peut s'installer sur une chaise et lire tant qu'on veut.
Après l'école, j'allais toujours à la bibliothèque à vélo. J'y passais même la plupart de mes jours de congé. Je lisais tout ce qui me tombait sous la main : contes, romans, épopées, livres d'histoire. Quand j'ai eu fini de lire la littérature pour la jeunesse, je me suis attaqué à la section adultes. J'ai lu jusqu'à la dernière page des livres auxquels je en comprenais rien. Quand j'étais fatigué de lire, j'allais m'asseoir dans une cabine et j'écoutais de la musique au casque. Comme je n'y connaissais rien, j'écoutais simplement dans l'ordre en partant de la droite, tous les CD qui se trouvaient là. C'est ainsi que j'avais fait connaissance avec Duke Ellington, les Beatles, Led Zeppelin.
La bibliothèque était ma seconde maison. Ou plutôt, le seul endroit où je me sentais vraiment chez moi. A force d'y aller tous les jours, j'avais fini par connaître les filles qui y travaillaient. Elles m'appelaient par mon prénom, me disaient bonjour quand j'arrivais, m'adressaient quelques mots gentils (mais j'étais affreusement timide à l'époque et je n'osais leur répondre)."
Un extrait de Kafka sur le rivage de Haruki Murakami (édition 10/18 pp.44-45)
"Depuis tout petit, je passe ma vie dans les salles de lecture des bibliothèques. Il n'y a pas beaucoup d'endroits où puisse aller un petit garçon qui n'a pas envie de renter chez lui. Il ne peut pas entrer dans un café, ni aller au cinéma. Il ne reste que les bibliothèques. Elles sont gratuites et personne ne dira rien à un enfant qui y entre seul. On peut s'installer sur une chaise et lire tant qu'on veut.
Après l'école, j'allais toujours à la bibliothèque à vélo. J'y passais même la plupart de mes jours de congé. Je lisais tout ce qui me tombait sous la main : contes, romans, épopées, livres d'histoire. Quand j'ai eu fini de lire la littérature pour la jeunesse, je me suis attaqué à la section adultes. J'ai lu jusqu'à la dernière page des livres auxquels je en comprenais rien. Quand j'étais fatigué de lire, j'allais m'asseoir dans une cabine et j'écoutais de la musique au casque. Comme je n'y connaissais rien, j'écoutais simplement dans l'ordre en partant de la droite, tous les CD qui se trouvaient là. C'est ainsi que j'avais fait connaissance avec Duke Ellington, les Beatles, Led Zeppelin.
La bibliothèque était ma seconde maison. Ou plutôt, le seul endroit où je me sentais vraiment chez moi. A force d'y aller tous les jours, j'avais fini par connaître les filles qui y travaillaient. Elles m'appelaient par mon prénom, me disaient bonjour quand j'arrivais, m'adressaient quelques mots gentils (mais j'étais affreusement timide à l'époque et je n'osais leur répondre)."
vendredi 6 janvier 2012
Pénélope
Bon les photos, faut trier, là, j'ai pas trop le coeur...
Donc pour combler le vide, voici un extrait des aventures de Jospéhine, l'héroïne de Pénélope Bagieu...

En espérant que cette fois ce sera lisible....
Donc pour combler le vide, voici un extrait des aventures de Jospéhine, l'héroïne de Pénélope Bagieu...
En espérant que cette fois ce sera lisible....
mardi 27 décembre 2011
Cadeaux de fin d'année
Pour le 24 décembre, le Père Noël nous a gatés! 2 angines à streptocoques, une pour Alma et une pour Sorenn, avec suspision de scarlatines donc antibios! et pour moi, qui ne réagit pas positivement au test, un mal de gorge abominable dû à une virus probablement mais comme la fièvre ne baisse pas (paaaaaaaaaas du tout) le doc m'a dit de faire aussi la cure d'antibio!
Là je me traine au travail, avec une voix horrible et Othman-le-gentil qui me dit "tu as l'air malade, Elodie", je n'ai pas que l'air, non...
Bon sinon c'était bien, les cadeaux, tout ça tout ça, des photos très bientôt, promis!
Là je me traine au travail, avec une voix horrible et Othman-le-gentil qui me dit "tu as l'air malade, Elodie", je n'ai pas que l'air, non...
Bon sinon c'était bien, les cadeaux, tout ça tout ça, des photos très bientôt, promis!
lundi 12 décembre 2011
mercredi 7 décembre 2011
Igor le sportif
lundi 5 décembre 2011
Première rencontre
vendredi 25 novembre 2011
« L’argent, l’urgence » de Louise Desbrusses
Les mots sont simples. Presque simplistes. Répétitifs, parfois. La syntaxe est épurée, à l’extrême. Le rythme est syncopé. Et pourtant. Les émotions décrites sont de la précision indiscutable de ce qui a été vécu. C’est donc un tour de force –ou de magie- que réussit Louise Desbrusses : écrire avec peu de mots sur l’inénarrable.
Un survol sur Internet laisserait à penser que ce roman n’est qu’à propos du « monde du travail ». De mon point de vue, « L’argent, l’urgence » c’est également à propos de la vie de couple et de choix cruciaux qu’on peut être amener à faire pour être en accord avec soi-même plutôt qu’avec les autres. Ça parle de donner du sens à sa vie tout en trouvant les moyens de « faire bouillir la marmite ». Ou bien l’inverse.
Seul (petit) bémol* que j’émettrais: c’est qu’il faudra la rencontre accidentelle d’un homme – « le sauveur » ou « le prince charmant » - pour déclencher : la prise de conscience suivi de la prise de décision(s). La (re)prise en main de sa destinée. Ce qui laisserait à penser que cela est impossible sans la condition de cette rencontre. C’est regrettable à lire dans un roman qui est une remise en cause sévère de ce qu’il est convenu de faire, de penser, de vivre…ou non. Une critique du bien pensant et de la pensée unique.
A lire, absolument. (2006 Edition P.O.L 16 €).
*So*
*Tout comme dans «Les heures souterraines» de Delphine DE VIGAN
A consulter :
http://www.pol-editeur.com/index.php?spec=livre&ISBN=2-84682-124-0
Le site de l’éditeur offre à la lecture les 10 premières pages du roman.
http://www.peripheries.net/article4.html
Le site s’attache à la question du « monde du travail ».
Un survol sur Internet laisserait à penser que ce roman n’est qu’à propos du « monde du travail ». De mon point de vue, « L’argent, l’urgence » c’est également à propos de la vie de couple et de choix cruciaux qu’on peut être amener à faire pour être en accord avec soi-même plutôt qu’avec les autres. Ça parle de donner du sens à sa vie tout en trouvant les moyens de « faire bouillir la marmite ». Ou bien l’inverse.
Seul (petit) bémol* que j’émettrais: c’est qu’il faudra la rencontre accidentelle d’un homme – « le sauveur » ou « le prince charmant » - pour déclencher : la prise de conscience suivi de la prise de décision(s). La (re)prise en main de sa destinée. Ce qui laisserait à penser que cela est impossible sans la condition de cette rencontre. C’est regrettable à lire dans un roman qui est une remise en cause sévère de ce qu’il est convenu de faire, de penser, de vivre…ou non. Une critique du bien pensant et de la pensée unique.
A lire, absolument. (2006 Edition P.O.L 16 €).
*So*
*Tout comme dans «Les heures souterraines» de Delphine DE VIGAN
A consulter :
http://www.pol-editeur.com/index.php?spec=livre&ISBN=2-84682-124-0
Le site de l’éditeur offre à la lecture les 10 premières pages du roman.
http://www.peripheries.net/article4.html
Le site s’attache à la question du « monde du travail ».
lundi 21 novembre 2011
mercredi 16 novembre 2011
mercredi 9 novembre 2011
Because the night
Super concert de Patti Smith hier soir à la MC2, d'autant plus que l'icone (non, ce n'est pas exagéré) s'est essayé au français, s'est gentiment moquée d'elle-même en disant que tout ce qu'elle savait dire c'est "où est le parapluie et" où est la bibliothèque, on y va tout de suite!"
Autant vous dire que ça réconcilie avec tous les clichés précédents!
People have the power!
samedi 5 novembre 2011
Dans la série : " les clichés ont la vie dure..."
Télérama n° 3225 du 2 novembre 2011, interview d'Omar Sy (celui d'"Omar et Fred"), qui a grandi à Trappes, en banlieue parisienne...
"...Il adore la chanson depuis qu'il est tout petit. La "faute" à la télé : "C'est la seule culture qu'on a en banlieue, parce que la bibliothèque tu laisses tomber très vite, avec la nana aux grosses lunettes qui te regarde de travers dès que tu passes la porte."..."
Bon, y'a encore du travail!!!
"...Il adore la chanson depuis qu'il est tout petit. La "faute" à la télé : "C'est la seule culture qu'on a en banlieue, parce que la bibliothèque tu laisses tomber très vite, avec la nana aux grosses lunettes qui te regarde de travers dès que tu passes la porte."..."
Bon, y'a encore du travail!!!
mardi 1 novembre 2011
Harcèlement
lundi 31 octobre 2011
dimanche 16 octobre 2011
vendredi 14 octobre 2011
Extrait d'un classique
Pour les besoins d'une formation sur l'analyse littéraire, j'ai lu un livre jamais ouvert qui pourtant trône sur l'étagère de ma maman depuis longtemps... "La place" d'Annie Ernaux, est un livre poignant qui exprime en très peu de pages et de mots tous les malaises qui peuvent exister entre deux générations, quand des ouvriers/petits commerçants donnent naissance à une agrégée de Lettres Modernes...
Et dans les dernières pages, une perle pour les bibliothécaires...
p.111
"Un dimanche après la messe, j'avais douze ans [fin des années 1950], avec mon père j'ai monté le grand escalier de la mairie. On a cherché la porte de la bibliothèque municipale. jamais nous n'y étions allés. Je m'en faisais une fête. On n'entendait aucun bruit derrière la porte. Mon père l'a poussée, toutefois. C'était silencieux, plus encore qu'à l'église, le parquet craquait et surtout cette odeur étrange, vieille. Deux hommes nous regardaient venir depuis un comptoir très haut barrant l'accès aux rayons. Mon père m'a laissé demander: "On voudrait emprunter des livres. L'un des hommes aussitôt : "Qu'est-ce que vous voulez comme livres?" A la maison, on n'avait pas pensé qu'il fallait savoir d'avance ce qu'on voulait, être capable de citer des titres aussi facilement que des marques de biscuits. On a choisi à notre place, Colomba pour moi, un roman léger de Maupassant pour mon père. Nous ne sommes pas retournés à la bibliothèque. C'est ma mère qui a dû rendre les livres, peut-être, avec du retard."
Et dans les dernières pages, une perle pour les bibliothécaires...
p.111
"Un dimanche après la messe, j'avais douze ans [fin des années 1950], avec mon père j'ai monté le grand escalier de la mairie. On a cherché la porte de la bibliothèque municipale. jamais nous n'y étions allés. Je m'en faisais une fête. On n'entendait aucun bruit derrière la porte. Mon père l'a poussée, toutefois. C'était silencieux, plus encore qu'à l'église, le parquet craquait et surtout cette odeur étrange, vieille. Deux hommes nous regardaient venir depuis un comptoir très haut barrant l'accès aux rayons. Mon père m'a laissé demander: "On voudrait emprunter des livres. L'un des hommes aussitôt : "Qu'est-ce que vous voulez comme livres?" A la maison, on n'avait pas pensé qu'il fallait savoir d'avance ce qu'on voulait, être capable de citer des titres aussi facilement que des marques de biscuits. On a choisi à notre place, Colomba pour moi, un roman léger de Maupassant pour mon père. Nous ne sommes pas retournés à la bibliothèque. C'est ma mère qui a dû rendre les livres, peut-être, avec du retard."
mardi 11 octobre 2011
vendredi 23 septembre 2011
Cliché, encore un!
Page 119 du livre de Justin Peacok, Verdict, publié chez Sonatine (encore!!), un polar judicaire américain, lu par Nico.
Dialogue entre 2 personnages masculins :
"- Mélanie est dingue de toi.
- Elle est venue avec Ted?
Paul secoua la tête.
- Ted lui tourne autour, ce soir, mais je ne crois pas qu'il vienne trop t'encombrer. Une bibliothécaire le trouverait rasoir. En revanche, toi, elle pense que tu as une âme."
J'adore!
Dialogue entre 2 personnages masculins :
"- Mélanie est dingue de toi.
- Elle est venue avec Ted?
Paul secoua la tête.
- Ted lui tourne autour, ce soir, mais je ne crois pas qu'il vienne trop t'encombrer. Une bibliothécaire le trouverait rasoir. En revanche, toi, elle pense que tu as une âme."
J'adore!
samedi 3 septembre 2011
Vacances suite
Encore quelques photos des vacances, 48h avant la rentrée, ça peut pas faire de mal!!!
Balade en barque sur le courant d'Huchet avec Fabienne, François, Marius et Rose en vacances dans le coin en même temps que nous...
Alma la morfale ronge les os de poulet.
Avec Soso on lit et on s'instruit en rigolant!
Sorenn de bonne humeur au p'ti déj 'généralement, ça ne dure pas!)
Balade en barque sur le courant d'Huchet avec Fabienne, François, Marius et Rose en vacances dans le coin en même temps que nous...
Alma la morfale ronge les os de poulet.
Avec Soso on lit et on s'instruit en rigolant!
Sorenn de bonne humeur au p'ti déj 'généralement, ça ne dure pas!)
mercredi 31 août 2011
Landes
(plus bcp de messages sur ce blog, désolée, plus beaucoup de temps, et appareil photo en rade... heureusement Soso est venue en vacances avec nous, elle a pu faire de très belles photos, merci Soso, pour ça et pour tout le reste : la préparation des repas quand il faut doucher les enfants au retour de la plage, la garde d'Alma une après-midi quand les plus grands veulent profiter des vagues, les histoires aux enfants, le portage des serviettes sur le vélo et tout et tout...)
Donc vacances 2011 dans les Landes, juste à côté de Vieux-Boucau, dans un très beau village vacances dont nous aurons profité pour la piscine, le snack et les cours de natation gratos pour Igor. Pour le reste location de vélos donc balades tous les jours et plage aussi tous les jours, les vagues de l'Atlantique, c'est trop bien!!!
Voici les premières photos, d'autres suivront dans les prochains jours....


Donc vacances 2011 dans les Landes, juste à côté de Vieux-Boucau, dans un très beau village vacances dont nous aurons profité pour la piscine, le snack et les cours de natation gratos pour Igor. Pour le reste location de vélos donc balades tous les jours et plage aussi tous les jours, les vagues de l'Atlantique, c'est trop bien!!!
Voici les premières photos, d'autres suivront dans les prochains jours....

vendredi 22 juillet 2011
lundi 27 juin 2011
Chevilles enflées
Je ne résiste pas à l'envie de faire ma fière en vous livrant les mots de la maitresse d'Igor, pour cette fin de CP :
"Bon élève, curieux, motivé et toujours très présent en classe, ça n'a été que du bonheur cette année que de t'avoir au CP! Bonne route vers le CE1!"
J'suis trop contente.
Ben quoi, j'ai le droit!!!!!
"Bon élève, curieux, motivé et toujours très présent en classe, ça n'a été que du bonheur cette année que de t'avoir au CP! Bonne route vers le CE1!"
J'suis trop contente.
Ben quoi, j'ai le droit!!!!!
mardi 14 juin 2011
Week-end mouvementé
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