mercredi 1 octobre 2008

Surnom de légende

Personne ne sait vraiment d'où ça vient mais depuis longtemps, Nico appelle son fils ainé "Criquettot". Certains penchent pour une explication basée sur l'énergie phénoménale des jambes dudit fils ainé, toujours en mouvement et particulièrement démonstratif lorsqu'il est content, ce qui se traduit par des sauts sur place, des sauts de criquet donc. Nico se rappelle d'un film vu il y a longtemps à Avignon (impossible de retrouver le titre du film, Mad si tu t'en souviens???) où le papa appelait son fils Piquetot, et Nico, méthode Freneit oblige, a transformé le terme pour son propre fils (comment vous en connaissez pas la méthode Frenet???? demandez à Nico, il vous en parlera..., sinon vous pouvez toujours vous renseigner ici). Bon, tout ça pour dire que ce surnom bien installé, qui ne plait bien sûr pas à Igor ("je m'appelle pas criquettot, je m'appelle Igor") fait l'objet d'un culte dans la famille. Ainsi l'année dernière, Stéphane et Stéphanie nous ont ramené de Corse un prospectus ventant "le col de Cricheto", à 40mn d'Ajaccio, sur la route de Bastelica. Ledit prospectus est affiché dans l'appart. Hier, ce sont mes parents, de retour d'un week-end en normandie (eh non, vous ne rêvez pas, et en plus il ne neige pas!!!) qui m'ont envoyé cette photo.


Alors avis aux amateurs : si vous aussi vous découvrez des "criquettot", on fait la collec!

4 commentaires:

Anonyme a dit…

Que Nico surnomme Igor "Criquettot" ça ne m'avait pas frappée et ça ne m'étonne pas...Il est monté sur ressort ce gamin...
MAIS que Nico soit un spécialiste de la pédagogie Freinet...Alors là...J'en suis sur le cul ! Comment un truc pareil a pu m'échapper depuis le temps que l'on se connait ! Nico...c'est une blague !
Ah ! Oui, il faut que je vous dise: à l'école primaire, j'ai baigné, dans la pédagogie Freinet...trois années géniales pendant lesquelles on retournait à l'école le mercredi tellement c'était bien...et on pleurait comme des veaux en fin d'année !
Bon, le retour à la "pédagogie classique" a été très cruel: des années de dictée pour rattraper mes lacunes en orthographe -et c'est pas toujours ça-; une incapacité à apprendre par coeur ce qui m'a valu des échecs cuisants à tous les concours que j'ai passé; et j'en passe...
Et pourtant, je dois l'essentiel à cette méthode d'enseignement: ma rencontre avec l'art.
SOso

Anonyme a dit…

J'ai fait la connaissance de votre petit Criquettot aujourd'hui qui est venu me rendre visite à la bibliothèque tout seul comme un grand! Même qu'il a fait une partie de cache cache mémorable dans les rayonnages et sous les bacs avec sa cop's! ...
;-)
Martine M.

Elonico a dit…

Oups, j'avais bien dit à mon remuant de fils d'être sage à la bibliothèque, parce que j'étais connue là-bas....
Elo

Anonyme a dit…

En tant que puriste de la méthode Freinet je me dois d'apporter deux corrections un ajout et une remarque à ce message :
2 corrections : il s'agit de Biquetot, comme le petit de la chèvre et non pas piquetot comme le petit du ... et c'est la maman et non le papa qui traduit ainsi son amour débordant
Un ajout : le titre du film est "Les Berkman se séparent" et vu le titre, vous avez raison, il s'agit bien d'un film d'art et décès style Woody Allen mais sans Woody Allen.
Une remarque enfin : il est quand même malheureux que ce soit un article "people" qui déchaine les commentaires sur ce blog pourtant riche de sujets aussi passionnants que polémiques.
Ramirez