mardi 14 juillet 2009

"Comme un roman", chronique marseillaise


J’ai lu le livre en une journée…avec la bonne excuse de mériter cette retraite pour avoir passé une semaine détestable au boulot et d’avoir une antre (très) relativement fraiche comparée à la chaleur écrasante de la cité Phocéenne.

Il ne manquait plus que la compagnie d’un ventilateur compensée par des rasades d’eau très fraiche aromatisée de jus de citron.

Où j’ai appris que si je ne suis pas une professionnelle du livre ni une pédagogue de la lecture, je n’en suis pas moins une lectrice à part entière. Une ce celles qui a retrouvé le chemin de la lecture grâce au plaisir. Car tout est là : le plaisir de lire.

Où j’ai appris (oui, on a le droit à la répétition !) qu’il existait un auteur assez téméraire pour lancer, il y a une 15e d’années déjà, comme un pavé dans la marre des élitistes de la littérature, les « droits imprescriptibles du lecteurs »

Alors, merci Monsieur Pennac, non seulement de m’avoir donné une légitimité en tant que lectrice, et aussi de m’avoir gentiment fait prendre conscience que j’utilisais le mot « livre » de manière abusive dans mes chroniques de lectures et surtout de m’avoir donné envie de lire Süskind et relire Flaubert.

« Comme un roman » de Daniel PENNAC Folio N° 2724

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